Séance enregistrement avec Alain Jean-Marie
avec Sidney Rodrigues
avec Philippe Powell
avec Alain Jean Marie
Lana Gray Quintet
All That JazZ avec Maeva Mathon & Charlotte Gauthier
Lana Gray trio (feat.The Paris Repertory Quintet - Sunside
No One's To Blame
avec Thierry Eliez, Sidney Rodrigues & le Paris Jazz Repertory Quintet
Bienvenue sur mon site officiel !
Scéance enregistrement avec
Alain Jean-Marie !
Duo avec Sidney Rodrigues
Trio avec Alain Jean Marie
Duo avec Philippe Powell
All That JazZ
avec Maeva Mathon & Charlotte Gauthier
Lana Gray Trio &
The Paris Jazz Repertory Quintet
Sunside 2022
Lana Gray Trio &
The Paris Jazz Repertory Quintet
No One's To Blame
avec Thierry Eliez, Sidney Rodrigues
& le Paris Jazz Repertory Quintet
Bienvenue sur mon site officiel
Séance enregistrement avec Alain Jean-Marie !
Duos avec Sidney Rodrigues
Duos avec Philippe Powell
All That JazZ avec Maeva Mathon & Charlotte Gauthier
Avec le Paris Jazz Repertory
Quintet - Sunside
En studio avec Thierry Eliez, Sidney Rodrigues et le Paris Jazz Repertory Quintet
Lana Gray trio et le Paris Jazz Repertory Quintet - Sunside
LANA GRAY Quintet
Le Son de la Terre
Lana Gray & Sidney Rodrigues duo
dimanche 22 octobre 20h
Péniche Marcounet
Reservations
https://www.peniche-marcounet.fr/event/brunch-musical-lana-gray-sidney-rodrigues-duo-2/
Chroniques...
No One's To Blame
Itinéraire singulier pour cette chanteuse aux origines multiples allant de la Polynésie au Viet Nam en passant par l’Italie et l’Afrique où elle est née, au Sénégal exactement. Un parcours professionnel multiple professeur de Français en Angleterre puis en poste à la Banque de France où étonnamment elle découvre le jazz dans un atelier de musique, décidant de s’y consacrer à plein temps.
Voilà ainsi son troisième album, celui-ci consacré au swing dans l’esprit des chanteuses de big bands du
genre. Elle y mêle quelques standards à six compositions personnelles parfaitement intégrées, entourée de sept musiciens dont un certain Thierry Eliez au piano. De sa voix tantôt claire parfois veloutée, elle se promène sur les notes avec un anglais parfait et une réelle aisance démontrant sa parfaite technique vocale. Quant aux musiciens, c’est la classe, ils lui tracent une route de swing des plus roulantes, lui permettant de s’exprimer pleinement quand ils ne prennent pas la main pour quelques beaux chorus, piano en tête. Un vrai album de jazz vocal, le premier terme n’étant pas ici galvaudé.
Un disque de jazz disons classique qui apporte un plaisir immédiat d’écoute et une chanteuse à
découvrir si ce n’est pas déjà fait.
La chanteuse et compositrice Lana Gray sort No One’s to Blame, un nouvel album plein de swing et d’allant,
le tout dans une ambiance « West Coast » revendiquée par l’artiste. L’album est constitué de six compositions originales et trois standards (« Autumn Leaves », « Boplicity » et Harlem Nocturne »). Les six compositions ont été co-écrites par Lana Gray et Alain Mathon. No One’s to Blame propose un jazz swing classique et atemporel qui nous procure un plaisir simple, fort et intact, car toujours renouvelé. Les titres originaux sonnent d’ailleurs comme de vieux standards que l’on redécouvrirait.
La présence de Thierry Eliez, Sidney Rodrigues et du Paris Jazz Repertory Quintet autour de
Lana Gray lui assure une qualité musicale de tout premier ordre. Il y a dans cet album une légèreté, un feeling, une joie de jouer que l’on ressent du début à la fin. Les chorus des uns et des autres sont ciselés… et inspirés ! A travers ce nouvel opus, Lana Gray rend au jazz un superbe hommage, tout en montrant d’indéniables talents de compositrice. Précisons que « The Banyan Tree », dernier titre de l’album, est pour sa part une compo latin jazz aux accents bossa nova donnant envie de se lever et de danser.
Enfin, il n’est pas inutile de dire qu’on doit une partie de arrangements au pianiste, tromboniste et
compositeur américain Joe Makhlom.
Lana Gray & Sidney Rodrigues duo
dimanche 22 octobre 20h
Péniche Marcounet
Reservations
https://www.peniche-marcounet.fr/event/brunch-musical-lana-gray-sidney-rodrigues-duo-2/
Chroniques...
Itinéraire singulier pour cette chanteuse aux origines multiples allant de la Polynésie au Viet Nam en passant par l’Italie et l’Afrique où elle est née, au Sénégal exactement. Un parcours professionnel multiple, professeur de Français en Angleterre puis en poste à la Banque de France où étonnamment elle découvre le jazz dans un atelier de musique, décidant de s’y consacrer à plein temps.
Voilà ainsi son troisième album, celui-ci consacré au swing dans l’esprit des chanteuses de big bands du genre. Elle y mêle quelques standards à six compositions personnelles parfaitement intégrées, entourée de sept musiciens dont un certain Thierry Eliez au piano. De sa voix tantôt claire parfois veloutée, elle se promène sur les notes avec un anglais parfait et une réelle aisance démontrant sa parfaite technique vocale. Quant aux musiciens, c’est la classe, ils lui tracent une route de swing des plus roulantes, lui permettant de s’exprimer pleinement quand ils ne prennent pas la main pour quelques beaux chorus, piano en tête. Un vrai album de jazz vocal, le premier terme n’étant pas ici galvaudé.
Un disque de jazz disons classique qui apporte un plaisir immédiat d’écoute et une chanteuse à découvrir si ce n’est pas déjà fait.
La chanteuse et compositrice Lana Gray sort No One’s to Blame, un nouvel album plein de swing et d’allant, le tout dans une
ambiance « West Coast » revendiquée par l’artiste. L’album est constitué de six compositions originales et trois standards
(« Autumn Leaves », « Boplicity » et « Harlem Nocturne »). Les six compos ont été co-écrites par Lana Gray et Alain Mathon.
No One’s to Blame propose un jazz swing classique et atemporel qui nous procure un plaisir simple, fort et intact, car toujours
renouvelé. Les titres originaux sonnent d’ailleurs comme de vieux standards que l’on redécouvrirait.
La présence de Thierry Eliez, Sidney Rodrigues et du Paris Jazz Repertory Quintet autour de Lana Gray lui assure une qualité
musicale de tout premier ordre. Il y a dans cet album une légèreté, un feeling, une joie de jouer que l’on ressent du début à la fin. Les chorus des uns et des autres sont ciselés… et inspirés ! A travers ce nouvel opus, Lana Gray rend au jazz un superbe hommage,
tout en montrant d’indéniables talents de compositrice. Précisons que « The Banyan Tree », dernier titre de l’album, est pour sa part une
compo latin jazz aux accents bossa nova donnant envie de se lever et de danser.
Enfin, il n’est pas inutile de dire qu’on doit une partie de arrangements au pianiste, tromboniste et compositeur américain
Joe Makhlom.
Lana Gray & Sidney Rodrigues duo
dimanche 22 octobre 20h
Péniche Marcounet
Reservations
https://www.peniche-marcounet.fr/event/brunch-musical-lana-gray-sidney-rodrigues-duo-2/
Chroniques...
No One's To Blame
Itinéraire singulier pour cette chanteuse aux origines multiples allant de la Polynésie au Vietnam en
passant par l’Italie et l’Afrique où elle est née, au Sénégal exactement. Un parcours professionnel multiple, professeur de Français en Angleterre puis en poste à la Banque de France où étonnamment elle découvre le jazz dans un atelier de musique, décidant de s’y consacrer à plein temps.
Voilà ainsi son troisième album, celui-ci consacré au swing dans l’esprit des chanteuses de big bands du genre. Elle y mêle quelques standards à six compositions personnelles parfaitement intégrées entourée de sept musiciens dont un certain Thierry Eliez au piano. De sa voix tantôt claire parfois veloutée, elle se promène sur les notes avec un anglais parfait et
une réelle aisance démontrant sa parfait technique vocale. Quant aux musiciens, c’est la classe, ils lui tracent une route de swing des plus roulantes, lui permettant de s’exprimer pleinement quand ils ne prennent pas la main pour quelques beaux chorus, piano en tête. Un vrai album de jazz vocal, le premier terme n’étant pas ici galvaudé.
Un disque de jazz disons classique qui apporte un plaisir immédiat d’écoute et une chanteuse à découvrir si ce n’est pas déjà fait.
Couleurs Jazz, 9/10/2022, Laurent PIERRE
La chanteuse et compositrice Lana Gray sort No One’s to Blame, un nouvel album plein de swing et d'allant, le tout dans une ambiance "West Coast" revendiquée par l’artiste. L’album est constitué de six compositions originales et trois standards ("Autumn Leaves", "Boplicity" et "Harlem Nocturne"). Les six compos ont été co-écrites par Lana Gray et Alain Mathon. No One’s to Blame propose un jazz swing classique et atemporel qui nous procure un plaisir simple, fort et intact, car toujours renouvelé. Les titres originaux sonnent d’ailleurs comme de vieux standards que l’on redécouvrirait.
La présence de Thierry Eliez, Sidney Rodrigues et du Paris Jazz Repertory Quintet autour de Lana Gray lui assure une qualité musicale de tout premier ordre. Il y a dans cet album une légèreté, un feeling, une joie de jouer que l’on ressent du début à la fin. Les chorus des uns et des autres sont ciselés…et inspirés ! A travers ce nouvel opus, Lana Gray rend au jazz un superbe hommage tout en montrant d’indéniables talents de compositrice. Précisons que "The Banyan Tree", dernier titre de l’album, est pour sa part une compo latin jazz aux accents bossa nova donnant envie de se lever et de danser.
Enfin, il n’est pas inutile de dire qu’on doit une partie de arrangements au pianiste, tromboniste et compositeur américain Joe Makhlom.